Le temps file et nous voilà déjà au départ de notre seconde année de mandats communaux. Un an que nos mandataires locaux ont renversé, d’une vague historique, le paysage politique bruxellois. Nous sommes arrivés emplis de promesses mais surtout, d’actions à mener. Maintenant, il est temps pour nous de jeter un rapide coup d’oeil sur ce qui a été effectué, de consolider pour se projeter efficacement sur nos actes futurs.

  Les chiffres parlent d’eux-mêmes: le parti écologiste, en Région bruxelloise, c’est quatorze majorités, une présidence de CPAS, trois maïorats, et une cinquantaine d’échevin·e·s qui sont entourés de plus de deux cents conseiller·e·s communaux et CPAS. Depuis le mois de mai, c’est également quinze parlementaires bruxellois, quatre fédéraux, un européen et deux ministres régionaux. Tous ces chiffres qui se résument en quelques phrases : une position de premier parti bruxellois pour le fédéral et européen et de deuxième pour le régional.

  Cette position de force se devait d’être concrétisée, et elle l’est. Aujourd’hui, nos communes sont plus vertes qu’hier. Aujourd’hui, la démocratie participative devient réalité grâce aux commissions délibératives et conseils de quartier. Aujourd’hui plus que jamais, Ecolo s’avance concrètement vers un futur écologique, égalitaire et social.

  En ce sens, la mobilisation se doit de continuer. Notre soutien aux mouvements prônant des idéaux identiques aux nôtres ne s’arrête pas aux élections, mais se poursuit au gré des actions. Nos dires, nos avancées dans les instances politiques, se doivent de transparaître par notre militantisme. En ce sens, réunissons-nous ce dimanche pour démontrer que le climat politique, lui, change pour un bien.

Marie Lecocq, Vincent Vanhalewyn, Emre Şumlu
Co-président.e.s de la Régionale Ecolo Bruxelles