Une ville, c’est avant tout des habitant.e.s, de tout âge, de toutes origines géographiques ou sociales, de toute orientation sexuelle… Et chacun.e d’entre eux.elles doit pouvoir y trouver sa place. Quitter Bruxelles parce qu’on ne trouve pas de logement abordable ou d’emploi est aujourd’hui habituel et c’est inacceptable. C’est pourquoi nous devons poser les conditions pour que toutes et tous puissent vivre dignement.

Pour faire baisser la pression sur les prix, les écologistes défendent la création de logements publics ainsi que des outils de régulation des loyers. Un plan massif d’investissement pour l’isolation des bâtiments doit aussi permettre de réduire les charges énergétiques, y compris des locataires. Ce plan d’investissement, ainsi que toutes les mesures pour entrer pleinement dans la transition écologique, sont par ailleurs créateurs d’emplois dans des secteurs durables et non-délocalisables.

Enfin, nous devons rendre Bruxelles à la pointe dans la lutte contre les discriminations. Cela passera par des actions positives et des tests en situation sur le marché de l’emploi et de la location. Mais il faudra également que des sanctions soient effectivement prises en cas d’infraction. Il ne peut y avoir d’impunité possible.

C’est aussi ce que nous rappellerons ce 1er mai Place Rouppe comme chaque année à l’occasion de la Fête du Travail.

Guillaume Defossé, Rajae Maouane, Barbara de Radiguès et Alain Maron
Co-président.e.s de la Régionale Ecolo Bruxelles et tête de liste à la Région.